10 ans en arrière, un drame eut lieu au Bangladesh : l’atelier de confection textile de Rana Plaza s’effondra, démontrant ainsi les conditions de travail des ouvriers du textile.
La découverte de cet entrepôt a aussi mis en avant les grandes firmes qui se fournissent en habits dans ce genre d’atelier. Parmi les plus connus, on y retrouve Mango, H&M ou encore Zara.
Mais comment le monde a-t-il réagi face à cela ? Tout d’abord au niveau local, il y a eu une forte réaction, puisque après Rana Plaza, ce sont quelques 200 autres ateliers qui ont été fermés en urgence au Bangladesh.
De plus, une tribune a été signée par quelques 200 entreprises, dont celles citées plus haut afin de réguler les conditions de travail des ateliers de confection textile.
Pour autant cela est-il suffisant ? La question est plus que légitime, en effet des mesures ont été prises les années suivant le drame, comme une loi de devoir de vigilance, introduit en France en 2017. On peut également évoquer ici les mesures de traçabilité des produits textiles.