- Dans les faits, les durées d’indemnisation seront réduites de 25% à 40% (en cas de plein emploi), ou maintenues au stade actuel en cas de retournement conjoncturel et de l’impact sur le marché du travail
- L’objectif est clairement le retour à l’emploi, le gouvernement en espère en effet 100 à 150 000 emplois supplémentaires en 2023
- Marché rouge quand le chômage dépassera 9% selon les critères du Bureau International du Travail ou augmentera de 0.8% d’un trimestre sur l’autre
- marché vert quand les indicateurs seront inférieurs à ces seuils trois trimestres de suite
- Ce sera le cas en février prochain, les durées d’indeminsation des personnes perdat leur emploi diminueront de 25 % sans pouvoir descendre en dessous de six mois et avec un maximum de 24 mois, ce qui situe l’Hexagone à la pointe des pays européens
- Le coefficient s’appliquera quelque soit l’âge
- Intermittents, dockers, pêcheurs, contrats de sécurisation professionnelle et territoires ultramarins ne sont pas concernés
- La réforme doit touchés 300 000 personnes en année pleine
- Le ministre du travail Olivier Dussopt attend également 4 milliards d’économies pour l’Unedic
- Les représentants des confédérations syndicales (FO, CGT, CGE-CGC, CFTC) ont exprimé leur opposition