- en septembre, la PLF présentait un déficit budgétaire de 158 milliards d’euros. La version finale creuse le déficit de 7 milliards supplémentaires
- C’est la conséquence des mesures annoncées pour amortir la crise énergétique, ce malgré 7 milliards de recettes supplémentaires et l’usage du 49.3
- Les dépenses ont en fait bondi de 13,5 milliards
- Le déficit public (comptes de la sécurité sociale et des collectivités locales incluses) lui reste attendu à 5% du PIB
- Ce n’est pas forcément un bon signal au moment où l’agence de notation Standard and Poor’s vient de dégrader la perspective de la dette française
- Dans les charges supplémentaires, 7 milliards d’euros concernent ‘’l’amortisseur ‘’ mis en place pour les entreprises, mais qui sont financées par les recettes supplémentaires équivalentes provenant du mécanisme européen de taxation des producteurs d’énergies