- Une étude du cabinet eight advisory se concentre sur les difficultés des commerçants
- En temps de crises, les biens non essentiels font les frais des arbitrages des consommateurs
- Les défis sont nombreux après le covid et avec la guerre en Ukraine (poussées inflationnistes, risques de récession…)
- En 2022, la fréquentation des commerces à diminué de 15 % par rapport à 2019
- L’étude du cabinet porte sur 17 groupes de distribution (5,4 milliards de CA, 28000 emplois directs)
- Le secteur doit affronter la hausse de ses coûts structurels (coûts de production, hausse du dollar, des loyers et des charges, du smic…) dans un contexte de ralentissement de l’activité et de remboursement des aides.
- En outre, la cour de cassation a prononcé cet été, l’obligation pour les commerçants de s’acquitter de leurs loyers non-payés pendant les confinements
- Des hausses de coûts qui interviennent dans un contexte de nécessaires investissements logistiques et de transition énergétiques
- Le recours à la hausse des prix n’est envisageable que pour les enseignes les plus attractives
- Après la liquidation de Camaïeu, le redressement judiciaire, le cabinet craint de nouvelles défaillances