- Les dépenses au titre du CPF vont dépasser les 2.6 milliards en 2022
- Si la nécessité de réguler fait consensus chez les partenaires sociaux, la méthode divise
- Le financement se base sur les cotisations employeurs complétées par des dotations de l’Etat
- Par soucis de responsabilité, d’amélioration de la qualité pédagogique, il apparaît normal aux partenaires que le bénéficiaire, censé tirer un meilleur parti professionnel, assume une partie du coût
- Les syndicats sont gênés par le principe d’un ticket modérateur
- Un amendement du gouvernement en ce sens au projet de budget 2023 a été retiré, dans l’attente de la fin des négociation (fin novembre)
- Il prévoyait un ticket modérateurs pour les bénéficiaires avec une exemption pour les chômeurs (30 % des dossiers) et des variations suivant le niveau de certification
- Une autre solution passe par le nettoyage dans les formations éligibles, notamment celles sans lien avec l’employabilité.