- Olaf Scholz est accompagné d’une dizaine de patrons (BASF, Siemens, Volkswagen…) dont certaines entreprises réalisent jusqu’à 40% de leur chiffres d’affaires
- Officiellement les thèmes géopolitiques (souveraineté de l’Ukraine, ‘’menaces nucléaires’’ russes, Taïwan …) sont centraux
- Le gouvernement allemand est critiqué, tant en Allemagne que par ses partenaires européens, sur sa stratégie de cavalier seul
- L’économie du pays est en réalité de plus en plus dépendante de la Chine, avec des importations en provenance de Chine qui ont augmenté de plus de 45% en 6 ans
- Le déficit commercial atteint 41 milliards d’euros dont l’enseignement majeur est que le marché chinois est de plus en plus servi par des investissements locaux que par des exportations
- C’est particulièrement le cas de l’industrie automobile, où les constructeurs allemands déplacent leurs R&D en Chine, pour le marché local mais aussi pour le reste du monde
- Ce n’est pas sans conséquence indirecte pour l’Union Européenne dont le PIB dépend pour un tiers de l’Allemagne
- C’est un problème pour l’Allemagne dans ses relations avec les Etats-Unis alors que la Chine n’exclut pas une solution militaire à Taïwan