- sur la base d’une enquête auprès de 8500 dirigeants, l’institution s’attend pour décembre à une nouvelle progression dans les services et une stabilité de l’activité industrielle
- Avec une croissance du PIB espérée de 0,1%, l’activité s’afficherait en hausse de 2,6% en 2022
- Les difficultés d’approvisionnement ont continué à se résorber, la crise énergétique pourrait ne pas impacter l’activité mais il y aura bien un choc sur les marges
- Pour le François Villeroy de Galhau, son gouverneur, la facture de la crise énergétique s’élève à 47 milliards d’euros pour les seuls pétrole et gaz (plus difficile à évaluer pour l’électricité) et le point bas de marge des entreprises sera atteint en 2023
- La Banque centrale estime que les ménages ont supporté 6% de ce surcoût, 35% pour les administrations et 57% pour les entreprises, contredisant la photographie délivrée par la direction du trésor (voir notre revue de presse du 09/12)
- Tous s’accordent sur la nécessité de réduire les aides d’ici deux ou trois ans