- Le gaz russe a été remplacé par les importations en provenance des Etats-Unis et de la Norvège notamment
- Il en est de même pour des sources encore mineures telles que l’Algérie et l’Azerbaïdjan mais qui présentent davantage de risques d’instabilité
- En outre, ses sources n’investissent pas assez dans les infrastructures
- Il en est de même pour les Etats-Unis, alors que la dépendance au GNL américain s’inscrit dans la durée, selon le directeur de l’IFRI
- L’Europe paie également l’attentisme allemand qui se concentrait sur l’approvisionnement en gaz le moins cher, au détriment d’investissements dans le système énergétique européen, le terminaux d’importation de GNL par exemple
- Il apparaît aujourd’hui nécessaire de le surdimensionner